La coloration des cheveux est un art qui exige la maîtrise de différents concepts en coiffure. La hauteur de tons en fait partie. Elle permet d’obtenir des couleurs bien précises lors de la coloration des cheveux. Mais à quoi correspond exactement la hauteur de tons en coiffure ? Coiffeur coloriste professionnel à Bordeaux, Les Nuances de Céline vous explique tout !
La hauteur de tons en coiffure : un élément clé pour réussir sa coloration des cheveux
La hauteur de tons en coiffure fait référence à la gestion précise des couleurs et des reflets lors de l’application de produits de coloration. Elle correspond à une échelle numérotée de 1 à 10 qui classe les couleurs naturelles des cheveux, du plus foncé au plus clair. Voici la classification sur laquelle se base votre coiffeur professionnel pour déterminer la couleur naturelle de vos cheveux avant d’appliquer une coloration :
- Noir ;
- Brun ;
- Châtain foncé ;
- Châtain ;
- Châtain clair ;
- Blond foncé ;
- Blond moyen ;
- Blond clair ;
- Blond très clair ;
- Blond très très clair.
Pourquoi comprendre la hauteur de tons est indispensable pour réaliser des colorations capillaires ?
Pour obtenir une coloration des cheveux à la hauteur de vos exigences, il est primordial de faire appel à un coiffeur professionnel qui maîtrise parfaitement la colorimétrie. En effet, cet art de mélanger les couleurs pour créer une couleur sur mesure est à la base de toute coloration réussie. Or la première compétence à acquérir pour maîtriser la colorimétrie en coiffure est l’utilisation des hauteurs de tons. En effet, cette classification permet au coiffeur de choisir la bonne couleur.
Quel est l’enjeu ? La réussite de votre coloration ! Opter pour une couleur qui n’est pas adaptée à votre couleur de cheveux naturelle peut avoir des conséquences fâcheuses. Par exemple, une couleur trop claire sur une base foncée risque de ne pas prendre et de virer au vert.
Au-delà de la hauteur de tons : notre avis professionnel pour obtenir un résultat naturel
La hantise de la plupart des clientes qui franchissent le seuil de notre salon de coiffure pour une coloration des cheveux ? Les reflets indésirables ! Reflet jaune, reflet orange, reflet rouge : ces reflets fréquents en cas de coloration mal maîtrisée gâchent la routine beauté des femmes qui cherchent à masquer leurs cheveux blancs, à donner de l’éclat à une chevelure terne ou encore à changer de couleur de cheveux. Comment l’éviter ? Voici notre avis professionnel sur la question.
Hauteur de tons + reflet dominant : la combinaison gagnante en coloration des cheveux
Trouver votre hauteur de tons ne suffit pas. C’est pour cette raison que la hauteur de tons en coiffure est souvent accompagnée d’un reflet. Ce dernier est mentionné après le point dans la numérotation des colorations. Différents types de reflets peuvent être choisis pour personnaliser la couleur en fonction de vos souhaits : reflet cendré, reflet, irisé, reflet doré, reflet cuivré, reflet acajou, etc. Un reflet dominant à choisir avec l’aide de votre coiffeur !
Utilisation du cercle chromatique pour neutraliser les reflets indésirables
Outre le choix du reflet dominant de la coloration, un coiffeur professionnel utilise le cercle chromatique pour neutraliser les reflets indésirables. Le cercle chromatique est une représentation circulaire des couleurs divisée en trois catégories :
- les couleurs primaires (rouge, jaune, bleu) ;
- les couleurs secondaires (orange, vert, violet) ;
- les couleurs tertiaires (résultat de la combinaison d’une couleur primaire et d’une couleur secondaire).
Sur ce cercle, les couleurs complémentaires se situent face à face. Ces couleurs peuvent se neutraliser entre elles. Parfait pour neutraliser un reflet indésirable en coloration des cheveux ! Il s’agit de la technique de la patine. Elle intervient pour neutraliser tout type de reflet non souhaité.
Chez Les Nuances de Céline, nous mettons notre expertise en colorimétrie à votre service pour vous aider à obtenir la couleur parfaite. N’hésitez pas à prendre rendez-vous pour une coloration sur mesure à Bordeaux.
